Guillaume Chérel

Biographie

Guillaume Chérel s’est arrêté de vieillir à 36 ans. Sa devise « Il faut garder dans sa main celle de l’enfant que nous avons été. » (Cervantès). Il a grandi au sein d’une famille “cocos”, tendance Pif Gadget… Après des études de lettres (Sorbonne Paris IV), il file aux États-Unis, où il marche sur les pas de Jack London, Kerouac et Hemingway (trois récits de voyage suivront chez Flammarion, Transboréal et au Castor Astral). Il est journaliste indépendant (sport/Culture/littérature/société) et a pas mal bourlingué, de la Chine aux Comores, en passant par la Réunion, la Guyane, la Mongolie, l’Afrique, etc. Il pose son sac quelques années du côté de Toulouse, avant de revenir à Paris, qu’il quitte à nouveau pour s’installer à Marseille, où il écrit un polar sur les pas de Jean-Claude Izzo. Sa “carrière” d’auteur commence par un polar, dans la collection du Poulpe (“Tropique du Grand cerf”, Éd. Baleine, 1997), dirigée par Jean-Bernard Pouy. Puis Chérel traîne ses guêtres au Festival Étonnants voyageurs de Saint-Malo, d’abord comme journaliste modérateur (notamment avec Jim Harrison), puis comme auteur invité. Guillaume Chérel a obtenu, à deux reprises, la bourse Stendhal du ministère des affaires étrangères, en 2004, pour “Les Pères de famille ne portent pas de robe” (Julliard), et en 2008 pour “Sur la route again” (paru chez Transboréal en 2013). En 2013, il obtient une bourse de la Drac Paca (Alpes-Maritimes) pour résider au Monastère de Saorge (cf. “Un bon écrivain est un écrivain mort”, publié chez Mirobole et en poche chez J’ai Lu) ; puis en 2015, il est sélectionné par le service culturel de la Ville de Paris pour une résidence d’écrivain à Madrid, où il termine “Cadavre, vautours et poulet au citron”, publié chez Michel Lafon, puis en poche chez J’ai Lu. Profil Facebook : @bigcherel