Le programme régional de soutien à la publication vise à :

• soutenir l’édition de livres et de revues de création sur l’ensemble du territoire, en favorisant le pluralisme des textes et articles à paraître,
• soutenir l’emploi dans les entreprises d’édition et dans la filière qui leur est liée,
• favoriser le développement des carrières des écrivains et auteurs et leur juste rémunération.

NB : pour tous les dossiers, une attention particulière à la rémunération des auteurs sera portée.

Domaines concernés par les aides

• La littérature à destination des publics adultes ou de la jeunesse (roman, récit, nouvelles, poésie,
  théâtre, critique, bande-dessinée…),
• les arts (archéologie, histoire de l’art, art ancien, moderne et contemporain, architecture,
  peinture, gravure, sculpture, photographie…)
• les sciences humaines et sociales.

Bénéficiaires

• L’éditeur (association ou société commerciale d’édition) est domicilié en Provence-Alpes-Côte d’Azur ou dispose d’un établissement ou d’une succursale dans la région.
• Il a au moins une année d’existence.
• Il travaille à compte d’éditeur.
• Son catalogue doit compter au moins trois ouvrages ou une revue.
• Il peut justifier d’un réseau de diffusion cohérent avec son projet d’édition.

• L’aide à l’édition d’un ouvrage ou d’une revue est plafonnée à 10 000 euros et concerne les frais de fabrication (impression, façonnage et fourniture du papier) et de conception graphique, de traduction et de rémunération des auteurs et d’achats de droits.
• L’aide à l’édition d’une collection de livres est plafonnée à 20 000 euros et concerne les dépenses directement liées à la réalisation du projet soit, notamment : les frais de fabrication (impression, façonnage et fourniture du papier) et de conception graphique, de traduction et de rémunération des auteurs et d’achats de droits.
• L’aide à la réalisation d’une traduction est plafonnée à 10 000 euros et concerne la rémunération du traducteur prévue au contrat de traduction fourni par l’éditeur.

L’aide régionale accordée ne peut excéder 50 % des dépenses retenues.