Cette ouverture très large s’inscrit dans un programme cohérent. L’association aime accueillir des projets qui tiennent compte de l’environnement proposé – à savoir Marseille, La Ciotat, les environs, la Méditerranée, les structures artistiques, culturelles ou institutionnelles implantées localement – ou qui sont ouverts aux croisements avec d’autres disciplines artistiques : photo, musique, vidéo, théâtre, arts numériques, arts plastiques…

Il est proposé à chaque résident·e, après consultation et sans obligation :

• de s’inscrire dans un programme d’activités, établi conjointement, autour de la résidence (rencontres publiques, ateliers, travaux collectifs…).
• de proposer un texte court inédit destiné à être publié dans la revue papier de La Marelle, La première chose que je peux vous dire…
• de participer à une émission de radio et/ou un enregistrement vidéo autour de son travail.
• de suggérer une liste de livres pour le fil Twitter “Un livre par jour”.

Bourse de résidence d’un montant de 450 € brut par semaine.

La Marelle prend en charge les frais d’hébergement, ainsi que les frais de repas liés aux nécessités de la mise en place de la résidence ou des interventions des auteur·ice·s (rencontres, ateliers, etc.) en lien avec leur séjour à La Marelle. Les autres frais de vie et de repas sont à la charge des résident·e·s.

Les frais de déplacement domicile ⇄ Marseille sont pris en charge par La Marelle, à hauteur maximale de 200 € aller-retour, et sur justificatifs. Les déplacements nécessaires aux interventions publiques (rencontres, ateliers, etc.) en lien avec son séjour à La Marelle sont également pris en charge. Tous les frais de transport supplémentaires sont à la charge des résident·e·s, en particulier en cas de trajets domicile ⇄ Marseille supplémentaires, sauf accord préalable.

Avoir déjà écrit et diffusé des textes accessibles (édités à compte d’éditeur ou d’auteur, sous format numérique, disponibles en revue, en ligne…), joués à la scène ou lus en performance, et porter un projet en début ou en cours d’élaboration. Dans le souci de rester dans un esprit d’expérimentation, les projets en phase finale d’écriture sont en général écartés par la commission, mais sont néanmoins examinés avec attention.